Avoir un métier passion
Professeure de Yoga : un « métier-passion » ? Est-ce une bonne idée de transformer sa passion en métier ? Je suis bien incapable de répondre à cette question par un simple « oui » ou « non ». Mais je partage avec vous quelques réflexions sur ce sujet.
Je me souviens, comme si c’était hier, de la première fois où j’ai entendu cette expression de « métier passion ». C’était dans la bouche d’un ami musicien, plutôt doué d’ailleurs, qui m’a dit quelque chose comme : « je ne ferais jamais de la musique mon métier parce que je finirai par détester ma guitare ». C’était il y a des années mais cette phrase nourrit toujours mes réflexions aujourd’hui : est-ce qu’on peut vraiment finir par détester sa passion ? La première chose qui me vient à l’esprit est qu’on finit parfois par détester des personnes qu’on a profondément aimé. Mais est-ce que c’est transposable à la musique ou au yoga ?
Il y a, de mon point de vue, beaucoup d’avantages à avoir un métier passion. Je vais me permettre ici de paraphraser Arielle (@liliby_mindfully), qui a rejoint l’Alchimie des Corps depuis quelques mois et qui m’a confié un jour, que ses proches la trouvaient beaucoup plus épanouie depuis qu’elle travaillait pour l’Alchimie des Corps 🥰
Je suis assez sûre d’une chose : quand on a un métier passion, on se lève plus facilement le matin et plus souvent avec le sourire aux lèvres. Et je crois que c’est encore plus vrai quand notre métier est le Yoga. Nous avons la chance de voir les élèves s’épanouir, prendre confiance en eux, aller mieux, un peu plus chaque semaine… Et ça c’est un merveilleux cadeau de la Vie qui, personnellement, me permet de me rappeler tous les jours pourquoi j’ai choisi ce métier. Cette observation est particulièrement utile dans les jours où le moral est un peu plus bas. Parce que ça arrive, même avec un métier passion.
Dans 15 jours, je vous parle des désavantages que je vois à transformer sa passion du Yoga en métier.
Je me souviens, comme si c’était hier, de la première fois où j’ai entendu cette expression de « métier passion ». C’était dans la bouche d’un ami musicien, plutôt doué d’ailleurs, qui m’a dit quelque chose comme : « je ne ferais jamais de la musique mon métier parce que je finirai par détester ma guitare ». C’était il y a des années mais cette phrase nourrit toujours mes réflexions aujourd’hui : est-ce qu’on peut vraiment finir par détester sa passion ? La première chose qui me vient à l’esprit est qu’on finit parfois par détester des personnes qu’on a profondément aimé. Mais est-ce que c’est transposable à la musique ou au yoga ?
Il y a, de mon point de vue, beaucoup d’avantages à avoir un métier passion. Je vais me permettre ici de paraphraser Arielle (@liliby_mindfully), qui a rejoint l’Alchimie des Corps depuis quelques mois et qui m’a confié un jour, que ses proches la trouvaient beaucoup plus épanouie depuis qu’elle travaillait pour l’Alchimie des Corps 🥰
Je suis assez sûre d’une chose : quand on a un métier passion, on se lève plus facilement le matin et plus souvent avec le sourire aux lèvres. Et je crois que c’est encore plus vrai quand notre métier est le Yoga. Nous avons la chance de voir les élèves s’épanouir, prendre confiance en eux, aller mieux, un peu plus chaque semaine… Et ça c’est un merveilleux cadeau de la Vie qui, personnellement, me permet de me rappeler tous les jours pourquoi j’ai choisi ce métier. Cette observation est particulièrement utile dans les jours où le moral est un peu plus bas. Parce que ça arrive, même avec un métier passion.
Dans 15 jours, je vous parle des désavantages que je vois à transformer sa passion du Yoga en métier.
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